Le degré d’excitation sexuelle affecte la qualité du sperme (10/05/16)

IM Sala btención muestras

Le plus souvent un homme éjacule, meilleure est la qualité de son sperme. C’est un bon stimulant pour la formation de spermatozoïdes dans les testicules, ou « spermatogenèse »

Contrairement à ce que l’on dit parfois, si elle est pratiquée fréquemment, l’activité sexuelle est bénéfique pour la reproduction assistée. Le plus souvent un homme éjacule, meilleure est la qualité de son sperme. C’est un bon stimulant pour la formation de spermatozoïdes dans les testicules, ou « spermatogenèse ».

D’après le Dr Marisa López-Teijón, « Le degré d’excitation sexuelle pendant la masturbation affecte directement la qualité du sperme. La quantité, la qualité, le volume de l’éjaculat et le niveau de l’orgasme dépendent de l’excitation. C’est-à-dire que le plus d’intensité et de temps d’excitation précéderont l’éjaculation, le plus complet sera l’échantillon ».

En effet, ceci augmente la vascularisation des vésicules séminales et de la prostate, qui sont les glandes qui produisent le liquide séminal, en favorisant que l’éjaculat soit complet.

Par conséquent, à l’Institut Marquès, nous nous sommes proposés d’aider l’homme pour que, le moment venu, l’obtention de l’échantillon de sperme soit le plus simple possible. Surtout quand le processus de PMA commence, certains patients peuvent éprouver des difficultés parce qu’ils sont parfois nerveux et ils craignent de ne pas obtenir un bon échantillon pour réaliser la fécondation.

Pour aider l’homme à se sentir commode et détendu, et qu’il puisse atteindre l’excitation sexuelle maximale, nos salles sont meublées et équipées avec tout le nécessaire, selon des critères d’excellence et avec les toutes dernières technologies.

À l’Institut Marquès, nous innovons chaque jour et nous planifions nos améliorations en pensant non seulement aux femmes, mais aussi à leur partenaire. Nous sommes convaincus que le rôle de l’homme est essentiel dans l’ensemble du processus de PMA et qu’il peut être, parfois, le « grand oublié », ce qui n’est pas le cas chez nous.