Présentation sur l’adoption d’embryon de la Fédération Française d’Étude de la Reproduction

FFER

La Fédération Française d’Étude de la Reproduction (FFER), durant ses 23 èmes journées qui se sont déroulées à Lyon, a sélectionné comme communication orale une étude réalisée pendant les 12 première années du premier programme d’adoption d’embryons au monde

La Fédération Française d’Étude de la Reproduction (FFER), durant ses 23 èmes journées qui se sont déroulées à Lyon, a sélectionné comme communication orale une étude réalisée pendant les 12 première années du premier programme d’adoption d’embryons au monde.

La communication orale de l’Institut Marquès, présentée par son directeur scientifique, le Dr. Álex García Faura, centrée sur les résultats concernant la France, a été sélectionnée parmi 120 travaux scientifiques, et a figuré parmi les six travaux choisis pour être présenté oralement.

L’étude montre que 63% des patients français qui ont finalisé leur cycle de fécondation in vitro à l’Institut Marquès, ne communique pas le destin qu’ils souhaitent donner à leurs embryons, en laissant leur futur entre les mains de la clinique, pendant que 26% optent pour la conservation en assumant le coût de la préservation, et 6% pour la destruction, 3% pour le don à la recherche et seulement 2% pour le don à d’autres couples.

Afin donner à ces embryons la possibilité de vivre, qui en Espagne sont à disposition des cliniques selon la loi, l’Institut Marquès, a lancé le premier programme d’adoption d’embryons du monde en 2004, qui a reçu grande acceptation. Des patients du monde entier viennent adopter en Espagne et déjà plus de 1000 bébé sont nés grâce à cette initiative.

62% des couples français qui choisissent l’option d’adopter des embryons à l’Institut Marquès, le font car il leur a été impossible d’obtenir une grossesse avec d’autres techniques de procréation médicalement assistée. 28% des adoptants français sont des femmes sans partenaire masculin qui veulent devenir mères, et même, certaines d’entre elles après avoir passé beaucoup de temps sur des listes d’attente pour une adoption standard. 10% des adoptants d’embryons se révèlent être des personnes qui pour des raisons de croyances éthiques ou religieuses ont écarté des autres techniques de procréation médicalement assistée.